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La commercialisation clandestine d’animaux sauvages favorise la propagation de nouveaux pathogènes, comme le coronavirus

Le combat envers le commerce illégal d’animaux sauvages doit s’intensifier désormais car il facilite l’apparition et la propagation de nouveaux virus, comme tel est le cas avec le coronavirus.

 

Selon le Fonds mondial pour la nature (WWF) qui a mené une vaste enquête auprès des nations concernées par le trafic et le commerce d’animaux sauvages, il y a urgence. Il faut stopper les marchés clandestins d’animaux sauvages. Des scientifiques se joignent également à cette lutte.

 

Propagation du CODIV-19 favorisée

 

Le WWF explique que le confinement des animaux sauvages et domestiques cloitrés dans leurs déjections et sang contribue à la propagation du virus. D’après un sondage auprès de 5000 personnes allant de Hong-Kong, Birmanie, Vietnam et Thaïlande, le résultat est sans appel, mais attention cela demeure une minorité néanmoins. Il faut fermer ces marchés !

 

Les populations concernées, inquiètes…

 

Pierrette Rey, porte-parole de l’organisation WWF Suisse indique que les populations impliquées lors de ce sondage se disent : « très inquiètes de l’impact de la propagation des virus sur les vies humaines, et sont d’avis que les gouvernements doivent appliquer des mesures strictes».

Grand nombre des sondés s’engage à tenter de dissuader leurs proches de consommer certaines espèces comme le pangolin ou la chauve-souris vis-à-vis du risque sanitaire désormais bien connu de tous.

O Poils Magazine